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Katharine Hepburn devrait avoir : 117 ans
Katharine Houghton Hepburn (née le 12 mai 1907 à Hartford et décédée le 29 juin
2003 à Old Saybrook) était une actrice américaine, lauréate de l'Oscar de la
meilleure actrice à quatre reprises qu'elle ne vint jamais chercher lors des
différentes cérémonies.
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Élégante, racée, spirituelle mais autoritaire, elle préfigura le féminisme sans
avoir besoin de militer. Ses films parlaient pour elle ; pommettes saillantes et
boucles chavirantes, elle fut une reine d'Hollywood.
Issue d'une famille
cultivée (son père était chirurgien et sa mère militante féministe) du New
Jersey, « Kate » est « belle mais bêcheuse ». Seconde de six enfants elle est
d’une nature indépendante et affirme un caractère bien déterminé. Très tôt,
après des études à l’Oxford School et au collège Bryn Mawr, elle s’intéresse aux
cours d’art dramatique.
À l’âge de 19 ans, elle abandonne ses études et
se rend à Baltimore dans une compagnie théâtrale, elle commence par de petits
rôles dans La Tsarine et The Cradle Snatchers puis part à New York pour monter
The Big pond mais sans grand succès.
À vingt ans, elle pose nue pour un
peintre. Le poète Phelps Putman dit d'elle : « Elle était l'anarchie vivante du
cœur. Elle était aussi impolie que la vie et la mort. »
« Garce » — selon
ses propres termes —, elle épouse par commodité un richissime homme d'affaires
pour se plonger sans souci dans sa seule passion, le théâtre ; elle est pourtant
mauvaise et le sait. Après sa première représentation de The Lake à Broadway, la
romancière et critique Katherine Mansfield écrit : « Allez donc voir Miss
Hepburn décliner toute la gamme des émotions de A à B ». Suite à cet échec elle
ne retrouve plus de rôle. Mais Kate décide de s'acharner.
En 1930, elle
assiste à la conférence de Lee Strasberg au cours de laquelle le gourou énonce
le dogme de l'Actors Studio : « Nous jouerons toutes sortes de pièces. Nous
serons tous égaux. Vedette une semaine. Simple figurant la suivante ». Kate qui
possède un égo énorme et cachetonne depuis presque dix ans ne peut accepter et
claque la porte du théâtre.
Elle obtient enfin ses premiers succès à
Broadway dans Art and Mrs Bottle en 1931 et surtout dans The Warrior’s husband
(1932) dans le rôle d’Antiope, reine des amazones où elle impressionne
favorablement les critiques.
Elle décide de tenter sa chance à Hollywood.
À l'époque, les nababs des studios cherchent justement une Américaine capable de
concurrencer la Suédoise Greta Garbo, avec une morphologie androgyne, un visage
diaphane et une personnalité raffinée. Lorsque Kate se présente, sa sveltesse et
sa classe impressionnent le puissant David Selznick (un des directeurs de la RKO
à ce moment) qui lui propose son premier film Héritage au coté de John Barrymore
et réalisé par George Cukor qui deviendra son réalisateur préféré. Ils
tourneront sept films ensemble et plusieurs téléfilms.
Forte de ses
derniers succès au théâtre, l’actrice parvient à négocier un avantageux contrat.
Arrivée en 1932 à Hollywood, l’actrice détonne dans cet univers très glamour par
son physique, sa façon d’être et de s’habiller (pantalon et chemise
désassortis). Son tempérament est à l’opposé des stéréotypes féminins de
l’époque incarné par Garbo la femme mythifiée, Dietrich la femme fatale
inaccessible à l’érotisme trouble ou Mae West et Jean Harlow stars à la
sexualité agressive. Elle va incarner les nouvelles héroïnes de l’écran
indépendantes et actives affirmant leur personnalité propre non pas dans la
sécurité du mariage mais dans la volonté d’agir de façon égale, sinon
supérieure, à celle d’un homme.
Elle campe une ambitieuse aviatrice prête
à tout dans Le Phalène son second film, une jeune fille indépendante qui renonce
à l’amour pour devenir écrivain dans Les Quatre filles du docteur March, un
garçon manqué travesti en homme dans Sylvia Scarlett, une militante féministe
qui assume sans honte sa condition de fille-mère dans La Rebelle...
Très
vite, tous les producteurs, réalisateurs et vedettes, vont tomber sous son
charme et seront les victimes de son caractère. Dès ses premiers films, elle
donne son avis sur tout et fait preuve d’un sens artistique inné.
Vedette
attitrée de la RKO, elle obtient dès son troisième film l’Oscar de la meilleure
actrice dans Morning Glory. Un an plus tard, en 1934, l’actrice divorcera de
Ludlow Oggen Smith
Cukor, tout de suite fasciné par l’actrice, renouvelle
leur collaboration pour Les Quatre filles du docteur March. Dès leur première
rencontre une amitié est née qui durera tout au long de leur vie. Elle reçoit
d'ailleurs la toute première Coupe Volpi pour la meilleure interprétation
féminine du Festival de Venise pour ce film. En 1936, elle retrouve pour la
troisième fois le réalisateur George Cukor pour un film injustement oublié
Sylvia Scarlett dans le rôle d’un garçon manqué se transformant en jeune femme
épanouie grâce à l’amour. Lourd échec critique et commercial ce film inclassable
est pourtant un des plus beaux films du Cukor des années trente.
Mais
bien que le public commence à l'aduler, beaucoup de ses films sont cependant des
fiascos et on la surnomme « poison du box-office ». Peu à peu les portes des
studios se ferment.
Elle renoue pourtant avec le succès pour son dernier
film à la RKO dans l’extraordinaire comédie L'Impossible Monsieur Bébé d’Howard
Hawks. Cette comédie loufoque, chef-d’œuvre de la screwball comedy, restera un
modèle du genre notamment grâce au duo hors pair formé par Katharine Hepburn et
Cary Grant. Après avoir racheté son contrat à la RKO, deux mille dollars, elle
retrouve Cukor son réalisateur fétiche et Cary Grant son partenaire de
prédilection pour une brillante comédie de la Columbia, Vacances. Ce fut un
nouveau succès au box-office.
Sollicitée pour le rôle tant envié de
Scarlett O'Hara et pourtant bien décidée à l’obtenir, elle refuse de tourner un
bout d’essai et le rôle lui échappe.
Entre-temps, Katharine se laisse
séduire par le très fantasque milliardaire Howard Hughes ; amants et associés,
ils vont acheter les droits de la pièce Philadelphia story et l'infatigable Kate
triomphe deux années durant sur les planches. Les studios s'intéressent de
nouveau à elle, mais elle fait monter les enchères et négocie durement avec
Samuel Goldwyn, les frères Warner et même Louis B. Mayer. Pour son retour, elle
exige George Cukor comme réalisateur, James Stewart et Cary Grant comme
partenaires (cf. Indiscrétions).
Louis B. Mayer, patron de la MGM, cède
aux demandes de la star. En effet, la MGM a un grand besoin de renouveler ses
stars féminines, en ce début de décennie. Greta Garbo et Norma Shearer sont sur
le point de se retirer des écrans, Myrna Loy interrompt sa carrière pour
travailler à la Croix-Rouge, Joan Crawford est sur la sellette et va quitter la
MGM en 1953 pour la Warner. La firme du lion a absolument besoin d’une forte
personnalité et Katharine Hepburn arrive à point nommé. Le film Indiscrétions
est un énorme succès, elle obtient le prix de la critique new-yorkaise et une
nomination aux Oscars, James Stewart recevra la précieuse statuette.
En
1940, elle fait son entrée parmi les stars de la firme Metro-Goldwyn-Mayer avec
un contrat de longue durée assorti de privilèges dont celui de pouvoir choisir
ses partenaires.
Après le succès d’Indiscrétions et une pause de quelques
mois, elle reçoit un scénario de Ring Lardner Jr., Michael Kanin et Garson
Kanin, La Femme de l'année. C’est la rencontre avec Spencer Tracy, celui qui
allait devenir l’homme de sa vie. Ils formeront un des couples les plus célèbres
de l’histoire du cinéma et tourneront neuf films ensemble. Les films MGM
suivants seront plus conventionnels malgré de grands réalisateurs comme Vincente
Minnelli, Elia Kazan, Clarence Brown, Frank Capra. À noter les deux brillantes
comédies signées George Cukor, Madame porte la culotte et Mademoiselle gagne
tout, sur un scénario de Ruth Gordon et Garson Kanin (nominés les 2 fois aux
Oscars) révélant encore une fois la merveilleuse complicité du couple
Tracy-Hepburn.
C’est aussi l’époque du Maccarthisme et Katharine ne
cachera pas ses opinions à propos de ce comité qui enquête sur les activités
anti-américaines des artistes d’Hollywood, elle déclara : « Depuis le
commencement des temps, l’artiste a toujours exprimé les aspirations et les
rêves du peuple. En imposant silence à un artiste, vous bâillonnez la voix la
plus puissante qui soit. »[1]
Son contrat avec la MGM se termine en 1952
et Katharine retrouve son indépendance.
Après un retour à Broadway
triomphal et une tournée pour une pièce de Shakespeare, Comme il vous plaira,
John Huston lui propose de tourner un film avec Humphrey Bogart dans L'Odyssée
de l'African Queen. Tourné en décors naturels à Biondo en République
démocratique du Congo (alors Congo belge), le film fut éprouvant à causes des
pénibles conditions climatiques ce qui n’empêcha pas aux deux acteurs de
composer un duo haut en couleur qui fit la joie des spectateurs. Le film reçut
quatre nominations aux Oscars pour John Huston, Katharine Hepburn, James Agee
(scénario) et Humphrey Bogart qui obtint la précieuse statuette.
Elle
retourne au théâtre dans une pièce de George Bernard Shaw, La Milliardaire puis
au cinéma joue les vieilles filles dans Vacances à Venise (pour lequel elle aura
sa sixième nomination aux Oscars) et Le Faiseur de pluie, retrouve Spencer Tracy
pour une nouvelle comédie Une femme de tête et surtout interprète Mme Venable
vieille milliardaire excentrique dans Soudain l'été dernier d’après un roman de
Tennessee Williams. Le coté sulfureux du scénario et l’attitude du réalisateur,
Joseph L. Mankiewicz, envers Montgomery Clift causa une atmosphère lourde durant
le film. Malgré cela le film fut un triomphe, Elizabeth Taylor et Katharine
Hepburn furent nominées aux Oscars.
Après les années cinquante, ses
apparitions pour le grand écran se font plus rares mais sont toujours saluées
aussi bien par la critique, le public que par les professionnels comme le
prouvent les louanges qu'elle reçoit pour le film de Sydney Lumet en 1962: Long
voyage vers la nuit, écrit par Eugene O'Neill, qui lui vaut le Prix
d'interprétation à Cannes. Elle continuera de plus, toujours avec bonheur, les
incursions au théâtre notamment dans des pièces de Shakespeare et même dans la
comédie musicale avec Coco, sur la vie de la couturière Coco Chanel. Elle
recevra encore trois Oscars: deux consécutifs en 1968 et en 1969 pour son
dernier film avec Spencer Tracy: la comédie de mœurs Devine qui vient dîner ?
puis pour sa prestation en Aliénor d'Aquitaine dans Le Lion en hiver (obtenu ex
aequo avec Barbra Streisand dans Funny Girl), et un tout dernier, gagné celui-là
en 1982 pour La Maison du lac où elle et Henry Fonda (également récompensé)
campent un couple d'octogénaires qui voit débarquer dans sa maison de campagne
sa fille, jouée par Jane Fonda, avec son nouveau compagnon et le fils de
celui-ci.
Elle tourne encore quelques films notamment dans un truculent
duo avec John Wayne Une bible et un fusil et deux téléfilms avec son pygmalion
George Cukor.
De comédies romantiques à des rôles de vieilles filles
privées d'amour, elle a régné quatre décennies sur Hollywood avant de se retirer
à New York. Seule actrice à avoir remporté quatre oscars, qu'elle ne viendra
jamais chercher, Katharine Hepburn est décédée le 29 juin 2003 à l'âge de 96 ans
pendant son sommeil. Elle a imposé au cinéma son inimitable style fait de
désinvolture, de classe, d'élégance et d'esprit. Ni le glamour hollywoodien, ni
l'audace, ni la liberté de ton et de conduite n'auront jamais trouvé meilleure
ambassadrice.
Au début des années 1940, Kate rencontre le grand amour de
sa vie, Spencer Tracy. Elle dit dès leur première rencontre « oh, monsieur
Tracy, mais je suis vraiment trop grande pour vous ! » Tracy répliqua « ce n’est
pas grave, ma chère, j’aurai vite fait de vous rendre votre vraie dimension.
»[2] Elle a dit également de lui qu'il était « bon comme une pomme de terre au
four ». Une profonde intimité les unira tout de suite, faits l’un pour l’autre,
ils vivront, clandestinement vingt ans de passion adultère (Tracy étant
catholique, il ne divorcera pas de sa femme) et elle tournera avec lui neuf
films dont La Femme de l'année , Madame porte la culotte et Devine qui vient
dîner ?. Tracy meurt en 1967.
FILMS
- 1932 :
Héritage (A Bill of divorcement) de George Cukor avec John Barrymore
1933 :
Le Phalène (Christopher strong) de Dorothy Arzner avec Colin Clive 1933 :
Morning Glory de Lowell Sherman avec Douglas Fairbanks Jr. 1933 : Les
Quatre filles du docteur March (Little women) de George Cukor avec Joan
Bennett 1934 : Mademoiselle Hicks (Spitfire) de John Cromwell avec Robert
Young 1934 : The Little Minister de Richard Wallace 1935 : Cœurs
brisés (Break of hearts) de Richard Moeller avec Charles Boyer 1935 :
Sylvia Scarlett de George Cukor avec Cary Grant 1935 : Désirs secrets
(Alice Adams) de George Stevens avec Fred MacMurray 1936 : Mary Stuart
(Mary of Scotland)de John Ford avec Fredric March 1936 : La Rebelle (A
woman rebels) de Mark Sandrich avec Van Heflin 1937 : Pour un baiser
(Quality street) de George Stevens avec Franchot Tone et Joan Fontaine 1937
: Pension d'artistes (Stage Door) de Gregory LaCava avec Ginger Rogers 1938
: L'Impossible Monsieur Bébé (Bringing up Baby) de Howard Hawks avec Cary
Grant 1938 : Vacances (Holiday) de George Cukor avec Cary Grant 1940 :
Indiscrétions de George Cukor avec Cary Grant et James Stewart 1942 : La
Femme de l'année (Woman of the year) de George Stevens avec Spencer Tracy
1943 : La Flamme sacrée (Keeper of the flame) de George Stevens avec Spencer
Tracy 1943 : Le Cabaret des étoiles (Stage Door Canteen) de Frank Borzage
apparition 1944 : Les Fils du dragon (Dragon seed) de Jack Conway et Harold
S. Bucquet avec Lionel Barrymore 1945 : Sans amour (Without love) de Harold
S. Bucquet avec Spencer Tracy et Lucille Ball 1946 : Lame de fond
(Undercurrent) de Vincente Minnelli avec Robert Taylor et Robert Mitchum
1947 : Le Maître de la prairie (Sea of grass) d'Elia Kazan avec Spencer
Tracy 1947 : Passion immortelle (Song of love) de Clarence Brown avec Paul
Henreid 1948 : L'Enjeu (State of the Union) de Frank Capra avec Spencer
Tracy 1949 : Madame porte la culotte (Adam's Rib) de George Cukor avec
Spencer Tracy 1951 : L'Odyssée de l'African Queen (The African Queen) de
John Huston avec Humphrey Bogart 1952 : Mademoiselle gagne tout (Pat and
Mike) de George Cukor avec Spencer Tracy 1955 : Vacances à Venise
(Summertime) de David Lean avec Rossano Brazzi 1956 : Le Faiseur de pluie
(The Rainmaker) de Joseph Anthony avec Burt Lancaster 1956 : Whisky,Vodka
et jupon de fer (The Iron petticoat) de Ralph Thomas avec Bob Hope 1957 :
Une Femme de tête (The Desk set) de Walter Lang avec Spencer Tracy 1959 :
Soudain l'été dernier (Suddenly last summer) de Joseph L. Mankiewicz avec
Elizabeth Taylor et Montgomery Clift 1962 : Long voyage vers la nuit (Long
days journey into night) de Sidney Lumet avec Ralph Richardson 1967 :
Devine qui vient dîner ? (Guess who's coming to dinner) de Stanley Kramer avec
Spencer Tracy et Sidney Poitier 1968 : Le Lion en hiver (The Lion in
winter) de Anthony Harvey avec Peter O'Toole, Anthony Hopkins et Timothy
Dalton 1969 : La Folle de Chaillot (The Madwoman of Chaillot) de Bryan
Forbes avec Charles Boyer, Yul Brynner, Danny Kaye et Giulietta Masina 1970
: Les Troyennes (The Trojan women) de Michael Cacoyannis avec Geneviève Bujold,
Vanessa Redgrave et Irène Papas 1973 : A Delicate balance de Tony
Richardson avec Lee Remick et Joseph Cotten 1973 : Une bible et un fusil
(Rooster Cogburn) de Stuart Millar avec John Wayne 1973 La Ménagerie de
verre (The Glass Menagerie) (TV) de Anthony Harvey 1975 : Il neige au
printemps (Love Among the Ruins) (TV) de George Cukor avec Laurence Olivier
1978 : Olly, olly, oxen free de Richard A. Colla 1979 : Le Blé est vert
(The Corn Is Green) (TV) de George Cukor 1981 : La Maison du lac (On Golden
Pond) de Mark Rydell avec Henry Fonda et Jane Fonda 1984 : Grace Quigley de
Anthony Harvey avec Nick Nolte 1986 : Mrs. Delafield Wants to Marry (TV) de
George Schaefer 1988 : Laura Lansing Slept Here (TV) de George
Schaefer 1992 : The Man Upstairs (TV) de George Schaefer 1994 : Un
amour oublié (This Can't Be Love) (TV) de Anthony Harvey 1994 : Rendez-vous
avec le destin (Love affair) de Glenn Gordon Caron avec Warren Beatty 1994
: One Christmas (TV) de Tony Bill
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RECOMPENSES
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- 1934 :
Oscar de la meilleure actrice pour Morning Glory
1967 : Oscar de la
meilleure actrice pour Devine qui vient dîner (Guess Who's Coming to
Dinner) 1968 : Oscar de la meilleure actrice pour Le Lion en hiver (The
Lion in Winter) 1982 : Oscar de la meilleure actrice pour La Maison du lac
(On golden Pond)
NOMINATIONS
1936 : Nomination Meilleure
actrice pour Désirs secrets 1941 : Nomination Meilleure actrice pour
Indiscrétions 1943 : Nomination Meilleure actrice pour La Femme de
l'année 1952 : Nomination Meilleure actrice pour L'Odyssée de l'African
Queen 1956 : Nomination Meilleure actrice pour Vacances à Venise 1957
: Nomination Meilleure actrice pour Le Faiseur de pluie 1960 : Nomination
Meilleure actrice pour Soudain l'été dernier 1963 : Nomination Meilleure
actrice pour Long voyage vers la nuit
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INFOS
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- Nom de naissance : Katharine Houghton Hepburn
- Date et lieu de naissance : 12-05-1907, à Hartford, Connecticut, États-Unis
- Date et lieu du décès : 29-06-2003, à Old Saybrook, Connecticut, États-Unis
- Cause du décès : Mort naturelle à l'âge de 96 ans
- Son corps est inhumé dans le cimetière de Cedar Hill à Hartford
(Connecticut).
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- Divorcée de Ludlow Ogden Smith (12.12.1928 - 1934)
Liaison jusqu'à son décès
de l'acteur Spencer Tracy (1940 - 10.06.1967)
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ANECDOTES
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- Fille du docteur Thomas Hepburn et de Katharine Houghton, une célèbre
suffragette (décédée en 1951)
Frère de : Tom (décédé accidentellement à l'âge
de 14 ans) Record de 4 Oscars. Livres : "The Making of The African Queen",
"Me: The Story of My Life" (autobiographie) Elle avait la maladie de
Parkinson. Elle était une rousse naturel. Aucun enfant.
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Source : Wikipedia |
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